C’est moi la plus verte !
Nadia Roman, Bruno Robert
Les éditions du Ricochet, 2009
Quand la volonté didactique gâche le plaisir
par Sophie Genin
L’histoire est plaisante et, s’il n’y avait cette volonté farouche de faire référence à d’autres textes célèbres de la littérature de jeunesse, nous serions sensible aux traits d’humour… mais, outre les illustrations qui ne font pas montre d’une originalité suffisante pour se démarquer de ce qui a déjà été édité avant, le texte est bien trop prétexte à aller lire ailleurs, ce que le lecteur finira par faire, faute de s’attacher aux personnages de cette histoire-ci !