Solipsisme
Par Anne-Marie Mercier
L’île en question est aussi bien un véritable espace (tente, cabane, maison de poupée…) dans lequel l’enfant se trouve, ou se projette, qu’un espace imaginaire peuplé d’oiseaux multicolores, d’animaux de toutes sortes, qui semblent sortis d’autres albums.
C’est joli, frais, charmant, plein d’intentions louables et délicates. Cela suffirait-il pour arrêter le lecteur, s’il n’y avait les illustrations elles aussi délicates et colorées ?